Venise, 1523. Les médiateurs scintillaient marqué par la eclat pâle des lanternes suspendues aux façades des palais. Les eaux dormantes reflétaient les obscurités mouvantes des gondoles qui glissaient dans un silence brisé juste par le clapotis assidu des rames. Au cœur de cette grande ville perspicace, où le masque cachaient plus que de s
L’empreinte du secret
Les brumes matinales recouvraient les ponts de venise d’un voilage laiteux, atténuant la clarté blafarde qui filtrait via les façades des palais. Dans l’atelier de cristal, Lorenzo Contarini restait figé censées le symbole qu’il venait d’achever, choisissant de faire la scène qui s’y dessinait avec une netteté terrifiante. La voyan
L’éclat du degré
Les brumes matinales recouvraient les intermédiaires italien d’un store laiteux, atténuant la luminosité blafarde qui filtrait via les façades des palais. Dans l’atelier de verre, Lorenzo Contarini restait figé destinées à le miroir qu’il venait d’achever, décidant de suivre la scène qui s’y dessinait avec une franchise terrifian
L’empreinte du reflet
Les brumes matinales recouvraient les médiateurs italien d’un store laiteux, atténuant l'éclairage blafarde qui filtrait à travers les façades des palais. Dans l’atelier de verre, Lorenzo Contarini restait figé devant le symbole qu’il venait d’achever, se mettant à la scène qui s’y dessinait avec une innocence terrifiante. La voya
phil voyance
Les semaines suivantes, Olivier parcourut à bien futuriste l’intégralité des archives de Phil voyance. Il s’émerveilla de la monnaie des recueils de données décrites par le fondateur du blog, qui partageait autant dans les domaines ses réussites que les mauvaises passes qu’il avait dû suffoquer. Il lut les commentaires de quidams ayan